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Présentation de l’éditeur :
Eté 2016. En Haute-Savoie, au cœur du pays du Mont-Blanc, Germaine est morte, muette à jamais, étrangement fauchée par un sapin. C'est son mari, Joseph Tronchet, qui en fait la macabre découverte ce jour brûlant d'août. Le travail harassant de la ferme, le soin constant porté aux bêtes n'auront été le quotidien d'un couple désassorti. Pourquoi cette femme belle, vénéneuse, ne cachant pas son désir pour d'autres hommes, s'est-elle mariée avec cet honnête paysan, qu'elle méprisait ? Dans sa solitude et sa peine, car il était amoureux, Tronchet a auprès de lui son grand fils Antoine, revenu de la ville le temps des funérailles, mais aussi Edmé, frère de cœur d'Antoine. Tous trois forment une chaîne unie, solidaire, délivrée de l'emprise toxique de Germaine, mais pas de leurs tourments ni de leurs doutes quant aux circonstances de sa disparition...
Et ce médaillon qu’ils ont toujours vu au cou de la défunte, que renfermait-il ? Le secret de Germaine ?
A propos de l’auteur :
Très lié depuis l’enfance aux Alpes et à Chamonix en particulier, Gérard Glatt a notamment publié La Chouette Idée d’Alexandre Pluche et, aux Presses de la Cité, Retour à Belle Etoile, Les Sœurs Ferrandon, Le Destin de Louise.
Quelques échos :
« Un roman où l’amour se frotte à la haine, dans lequel la psychologie, très fine, des personnages tient en haleine autant que l’intrigue bien ficelée. Le tout dans un décor montagneux cher à l’auteur : les Aravis » L’Est Eclair
« Gérard Glatt s’en tire merveilleusement bien quant au fond, et à la forme, grâce à une écriture épatante. » L’Informateur Judiciaire
« C’est tellement bien écrit, c’est poignant. C’est une vraie découverte et un bol d’air frais ! » Bethel Valée
« Gérard Glatt nous offre un roman aux multiples rebondissements avec une belle qualité d’écriture et des personnages fort attachants. A n’en pas douter, ce livre va séduire de nombreux lecteurs. » Le Réveil Cantalien
« C’est une plume tout à fait originale (...). Toujours cette manière douce, et lente, d’amener le lecteur au dénouement. Toujours cette façon d’amener une immense émotion, en plein milieu de narration calme. » Au fil des pages
« Gérard Glatt nous propose avec Et le ciel se refuse à pleurer... une de ces histoires familiales constituées de rancoeurs et de non-dits, dans la lignée d’œuvres de François Mauriac ou d’Hervé Bazin. » A l’écoute des livres
« Il n’y a, à mon sens, aucune raison de ranger les romans dits « de terroir » dans une catégorie inférieure. Si vous daignez vous plonger dans celui-ci, vous aurez l’éclatante démonstration que l’inverse est vrai. Ce roman est un grand roman. » Ma Collection de livres H.-Charles Dahlem
« Un roman fort, rédigé d’une plume alerte. Une tragédie très prenante. » Le Courrier Indépendant.
« Osez prétendre que ce livre entraîne l’imaginaire ne serait qu’une piètre constatation. Une écriture de suspens, mais pas que. C’est une plume qui sait modeler l’humain au point que nos doigts suivent le tracé des rides, la blessure des non-dits et goute l’amertume d’un trop-plein de larmes. Comme une sorte de dieu, l’écrivain façonne les destins afin qu’ils se posent sur les brisures de la fatalité. Fatalité ? Mon œil ! Diantre non, car le lecteur sera manipulé avec un tel suspens qu’il aura du mal à se détacher du livre. » Philippe De Riemaecker Lord, in Arts et Lettres