Association des Ecrivains de Bretagne

L’ultime portrait

par Jean-Baptiste SEIGNEURIC

L'ultime portrait

Au milieu du 19è siècle, la photographie est une invention toute jeune. Jules Dalmont, exilé de la capitale, installe un atelier de photographie à Roscoff. Mais, à une époque et dans une région où l'on ne connaît que les photographes itinérants, son activité peine à se développer. C'est pourtant un service tout particulier que l'on vient lui demander : le portrait d'un défunt.

 

C'est ainsi que commence une aventure bouleversante entre Paris et Roscoff, entre Batz et Ouessant.

Au pays des légendes, la mort, l'amour et la mer gravent leur empreinte indissociable dans le cœur des hommes.

 

4ème de couv :

Lorsque j’ai fui Paris pour m’installer à Roscoff, j’espérais que je finirais par oublier ma belle Natalie. Mais la mort m’avait précédé...
Dès l’installation de mon atelier de photographies en terre bretonne, c’était pour les défunts que l'on venait me commander un portrait. Comme fatalement.
En 1855, en retournant dans la Capitale pour l’Exposition Universelle, je savais que j’affronterais les fantômes du passé. Mais je n’imaginais pas que le spiritisme les révélerait d’une façon si tangible.
Puis Amélie est entrée dans ma vie et j’ai vu en elle un salut inespéré. Mais sans doute trop tardif...
Lorsque je n’aurai plus rien à espérer, trouverai-je enfin la paix ?

 

À propos de l’auteur

Jean-Baptiste SEIGNEURIC est né à Lyon en 1967.

Après ses études de médecine, il occupe un premier poste en Terre-Adélie.

Depuis, ses passions pour l'écriture, la photographie et l'univers maritime ne l'ont jamais quitté. Après un passage en Avignon et des missions au profit de l'Archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon, il pose enfin ses valises à Morlaix, où il exerce comme stomatologiste.

Ces terres de légendes lui inspirent romans et ouvrages de photographie et lui permettent de développer l'activité de sa maison d'édition vouée à la Mer : les éditions des embruns.

Son dernier roman, L'ultime Portrait prend sa source au milieu du 19ème siècle entre Roscoff et Ouessant.



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