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Au milieu du 19è siècle, la photographie est une invention toute jeune. Jules Dalmont, exilé de la capitale, installe un atelier de photographie à Roscoff. Mais, à une époque et dans une région où l'on ne connaît que les photographes itinérants, son activité peine à se développer. C'est pourtant un service tout particulier que l'on vient lui demander : le portrait d'un défunt.
C'est ainsi que commence une aventure bouleversante entre Paris et Roscoff, entre Batz et Ouessant.
Au pays des légendes, la mort, l'amour et la mer gravent leur empreinte indissociable dans le cœur des hommes.
4ème de couv :
Lorsque j’ai fui Paris pour m’installer à Roscoff, j’espérais que je finirais par oublier ma belle Natalie. Mais la mort m’avait précédé...
Dès l’installation de mon atelier de photographies en terre bretonne, c’était pour les défunts que l'on venait me commander un portrait. Comme fatalement.
En 1855, en retournant dans la Capitale pour l’Exposition Universelle, je savais que j’affronterais les fantômes du passé. Mais je n’imaginais pas que le spiritisme les révélerait d’une façon si tangible.
Puis Amélie est entrée dans ma vie et j’ai vu en elle un salut inespéré. Mais sans doute trop tardif...
Lorsque je n’aurai plus rien à espérer, trouverai-je enfin la paix ?