par
Roman (sous patronyme naturel)
462 pages
4ème de couverture : Une dune à lacanau, des petits pas d'ange, ce froid sous les ongles, un regret qui ne pouvait se dire, des souris en bourgogne, un lisier pour des oreilles, le butor adipeux, un grand chien noir, le sang et la corne, des yeux bleu marine, des dimanches idylliques au bord de l'eau, le tango argentin, la connexion, une prostituée ordinaire, la comédie humaine, une artiste peintre un peu fantasque, du sport à suresnes, le tango pour grandir, la coupole, ce qui porte, et qui dure et persiste, et le rock acrobatique, et les claquettes anglaises, et les vieux de pantin, un chant grave et magnifique, la Murga Porteña, des ronds de fumée, le jardin du vert-galant, une chute abyssale, un hélicoptère, la terreur et le cri, l'amie fidèle, saint-germain des prés, des perles dans les yeux, une lame d'acier, l'argentine en souffrance, le regain.
Quatre drames, deux amours, une zamba et le tango argentin pour guérir un cœur et peut-être sauver le monde.
Synopsis : Louis se pose sur une dune, accueillant son histoire dans le souffle de la mer. Quel autre lieu pour la mémoire d'elles : Mariposa, Nina, Noémie ? Et c'est toute sa vie qui défile en ce jour, la marche en son cœur de la nature humaine, de l'effort, de l'élévation, de la chute, peut-être de la renaissance. Et du tango argentin, fil rouge têtu en cette course de la vie et de la mort.
Il y eut l'une, il y eut l'autre.
Quand il songe à l'une, la mémoire lui revient comme à nous tous, lorsque le chagrin nous tient : elle dit, elle figure, elle s'offre à la douceur et ne blesse pas, car elle habite un lieu pour célébrer.
Mais quand il songe à l'autre, ce n'est plus une pensée qui l'éclaire ou le chagrine, c'est une vie dans laquelle il prend corps et chair hors du temps. Il ne songe pas dans la mémoire, il est la mémoire, car il a beau faire, le spectre de l'amour pleure dans ses rêves et réclame, retraçant l'errance et l'inachevé. Se relèvera-t-il de cette épreuve ?
Entre Paris et Buenos Aires, le tango d'origine saura-t-il guérir ce mal étrange, ouvrir à la résilience ?