Il y a un peu plus d’un an, Sandrine Le Labourier-Engeldinger, 50 ans, écrivait son tout premier roman. Elle qui s’est toujours exprimée par les mots (mais pas que) depuis son plus jeune âge en écrivant, enfant, des poèmes et des contes, avait décidé de faire le grand saut. Et avait trouvé un très grand plaisir à le faire à un tel point qu’elle annonçait déjà se pencher sur un second ouvrage
« Angeline, c’est moi »
Après « Quand tu seras grande, tu comprendras », voici donc la suite des aventures d’Angeline avec « Vis ta vie, vis tes rêves ». Une femme, ancienne professeur de français qui, arrivée à la cinquantaine, se penche sur son histoire. Celle d’un papa décédé très tôt. Celle d’un amour entre un soldat allemand et une Française. « Oui, c’est un peu mon histoire, celle de ma famille. Elle a mon âge et est à la tête d’une entreprise aéronautique à l’aéroport de Vannes-Meucon. Angeline va alors faire des recherches sur son père en se rendant en outre-Rhin », rappelle l’auteure. Le tout sous une approche forcément romancée.
Sandrine parle même d’une « vie parallèle à la sienne ». Parfois même « prémonitoire ».
Un troisième livre
Sûrement cette maman de deux grands enfants, commerciale dans la littérature jeunesse, avait-elle besoin de se raconter.
Je ne recherche pas la notoriété. Écrire me fait un bien fou.